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Messages audio
Une lumière dans les ténèbres – 01/12/24.
Culte du 24 Nov.
Deux tentations qui nous perdent 10/11/24
L’Homme qui levait les mains 03/11/24
La place de l’enfant – 27 Oct 2024
La louange – Une affaire de famille – 20/10/24
Changer l’art et la manière 13/10/24
Le mystère dévoilé 06/10/24
Culte du 29/09/24
Sophonie n°3/3 La Restauration du peuple de Dieu (Sophonie 3:9-13) 22/09/24
Bien ancrés dans un monde fragment 15/09/24
Le premier appel d’Abraham 08/09/24
Tenir ferme dans la foi 01/09/24
Un esprit sainT dans un corps sain 18/08/24
Les JO de Paris 04/08/24
Vivre le repos que Dieu nous donne 28/07/24
La justice renversante de Dieu 21/07/24
Sophonie 2/3 Le Jour du Seigneur (Sophonie 1:7-2:3) 07/07/24
Découverte de la semaine
Cette rubrique vous présente, selon les humeurs, un livre, un film, une musique ou un concert.
Joyeux Noël : film dramatique français réalisé par Christian Carion (2005)
C’est l’histoire vraie de deux camps qui s’affrontent pendant la première guerre mondiale. Au moment de Noël , les Allemands et les Français vont faire une trêve, jusqu’à se rencontrer et trinquer ensemble. C’est le miracle de Noël, qui amène des ennemis à se réconcilier au moins pour un moment, sur le champ de bataille.
Pendant l’été 1914, la Première Guerre mondiale éclate, entraînant des millions d’êtres humains dans son tourbillon. Nikolaus Sprink doit renoncer à une carrière prestigieuse de ténor à l’opéra de Berlin. Pour suivre le jeune Jonathan qui s’est engagé, et qui l’aidait beaucoup dans son église, le pasteur Palmer quitte l’Écosse et se retrouve brancardier sur le même front du nord de la France. Quant au lieutenant français Audebert, il a dû laisser sa femme enceinte et alitée pour combattre l’ennemi ; depuis son départ, les Allemands occupent la petite ville du Nord où la jeune femme est censée avoir déjà accouché, à moins que le pire ne soit déjà arrivé ! Ne rien savoir est une souffrance qui tourmente toutes les nuits du lieutenant Audebert. Le temps passant, la neige s’installe. Noël arrive avec son cortège de cadeaux venant des familles et des états-majors. Mais la surprise ne vient pas des nombreux et généreux colis arrivant dans les tranchées françaises, allemandes ou écossaises. C’est l’impensable qui se produit : pour quelques instants, on va poser le fusil pour aller, une bougie à la main, voir celui d’en face, pourtant décrit depuis des lustres, à l’école aussi bien qu’à la caserne, comme un monstre sanguinaire, et, la musique coutumière des chants de Noël aidant, découvrir en lui un humain, lui serrer la main, échanger avec lui cigarettes et chocolat, et lui souhaiter un « Joyeux Noël », « Frohe Weihnachten », « Merry Christmas ». C’est alors que l’on assiste à une trêve passagère, « au grand dam de leurs états-majors1 », entre les combattants, qui vont fêter Noël ensemble. Puis, pris d’attachement, les chefs des camps vont sauver mutuellement leurs ennemis. La hiérarchie n’est pas au courant, mais vient à apprendre ce qui s’est passé en lisant le courrier des soldats envoyé à leurs familles. Les régiments sont déplacés, certains sont dissous, d’autres envoyés sur des fronts lointains et difficiles. Une histoire réelle oubliée de l’Histoire elle-même qui se serait passée à Frelinghien, dans le Nord de la France, près de Lille.
Joyeux Noël : film dramatique français réalisé par Christian Carion (2005)
C’est l’histoire vraie de deux camps qui s’affrontent pendant la première guerre mondiale. Au moment de Noël , les Allemands et les Français vont faire une trêve, jusqu’à se rencontrer et trinquer ensemble. C’est le miracle de Noël, qui amène des ennemis à se réconcilier au moins pour un moment, sur le champ de bataille.
Pendant l’été 1914, la Première Guerre mondiale éclate, entraînant des millions d’êtres humains dans son tourbillon. Nikolaus Sprink doit renoncer à une carrière prestigieuse de ténor à l’opéra de Berlin. Pour suivre le jeune Jonathan qui s’est engagé, et qui l’aidait beaucoup dans son église, le pasteur Palmer quitte l’Écosse et se retrouve brancardier sur le même front du nord de la France. Quant au lieutenant français Audebert, il a dû laisser sa femme enceinte et alitée pour combattre l’ennemi ; depuis son départ, les Allemands occupent la petite ville du Nord où la jeune femme est censée avoir déjà accouché, à moins que le pire ne soit déjà arrivé ! Ne rien savoir est une souffrance qui tourmente toutes les nuits du lieutenant Audebert. Le temps passant, la neige s’installe. Noël arrive avec son cortège de cadeaux venant des familles et des états-majors. Mais la surprise ne vient pas des nombreux et généreux colis arrivant dans les tranchées françaises, allemandes ou écossaises. C’est l’impensable qui se produit : pour quelques instants, on va poser le fusil pour aller, une bougie à la main, voir celui d’en face, pourtant décrit depuis des lustres, à l’école aussi bien qu’à la caserne, comme un monstre sanguinaire, et, la musique coutumière des chants de Noël aidant, découvrir en lui un humain, lui serrer la main, échanger avec lui cigarettes et chocolat, et lui souhaiter un « Joyeux Noël », « Frohe Weihnachten », « Merry Christmas ». C’est alors que l’on assiste à une trêve passagère, « au grand dam de leurs états-majors1 », entre les combattants, qui vont fêter Noël ensemble. Puis, pris d’attachement, les chefs des camps vont sauver mutuellement leurs ennemis. La hiérarchie n’est pas au courant, mais vient à apprendre ce qui s’est passé en lisant le courrier des soldats envoyé à leurs familles. Les régiments sont déplacés, certains sont dissous, d’autres envoyés sur des fronts lointains et difficiles. Une histoire réelle oubliée de l’Histoire elle-même qui se serait passée à Frelinghien, dans le Nord de la France, près de Lille.